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24, Cité des Promesses, La Nébuleuse de Septembre répète au TAG

24, Cité des Promesses est une adresse, celle d’un immeuble à la périphérie d’une grande ville…

© Victor Moriyama
© Victor Moriyama

 

 

 

Parmi les habitants : César, Louise, Sylvain et Arthur, vivent seuls dans leurs appartements, échangent peu, se croisent sans réellement se voir. Chacun, à sa façon, nous dévoile son quotidien et ses préoccupations intimes, jusqu’au jour où des signes inquiétants, à commencer par des fissures dans le mur, annoncent l’arrivée d’un danger imminent. Comment dès lors trouver un dialogue et imaginer un avenir commun ? Comment réparer les liens ?

En déployant théâtre et danse, récits et mouvements, La Nébuleuse de Septembre nous amène à observer, avec délicatesse et malice, la poésie de ces quatre personnalités soudain condamnées à affronter ensemble le drame qui survient. Comment réanimer les désirs, les imaginaires, les trajectoires ?

 

 
Texte et mise en scène : Martin Grandperret et Sébastien Nivault Scénographie : Anusha Emrith
Lumière : Michaël Dez
Ingénieur du son : Jean-Baptiste Aubenet
Interprètes : Sébastien Nivault, Martin Grandperret, Aurélie Mouilhade et Laurent Troudart

Production : La Nébuleuse de Septembre
Coproduction : Les Bords de Scènes – Grand Orly Seine Bièvre / Théâtre Gérard Philippe – Champigny sur Marne (94)
Partenaires : Ballet du Nord – Centre Chorégraphique National Roubaix (59) / TAG, Grigny (91) / Le Silo, Méréville (91). Avec le soutien de la DRAC Ile-de-France – Ministère de la culture et de la communication & du Conseil Départemental de l’Essonne

Production et diffusion : Clémence Martens, Histoire de…

 

Dates de résidence

  • du 9 au 20 décembre 2024, sortie de résidence le 20 décembre 

Enthousiaste, Sylvain s’emballe. — Et avec les enfants, on pourrait ré-inventer l’histoire… Si c’était lui qui avait parlé, il aurait peut-être dit de la poésie, plutôt que de dire « oui , c’est nous les hommes, on est les plus forts ! regardez, on marche sur la Lune ! » il aurait dit cette phrase de Leonard Cohen : « En toute chose, il y a une faille et c’est par là que la lumière entre… » Peut-être qu’à ce moment-là ça aurait été une occasion unique de changer, de renverser les points de vue, de faire basculer le monde, il y aurait des films qui se finiraient avec des couchers de terre, avec des chevaux qui galopent au loin sur l’horizon lunaire, des gens qui font l’amour au clair de Terre et qui plongeraient leur regards dans des beaux yeux où se reflètent les rayons bleus de la terre… Imaginez si on inversait les points de vue, imaginez l’aventure…

 


Pour en savoir plus  : site de la compagnie.